Les tissus arrogants se déplacent opiniâtrement

 

C’est fini avec Ito Takashi, ç’était bon, usé et tordu entre le champ de l’art contemporain comme life style objet, à point ou pas à point dans une performance, dans un aquarium, un hit et run statment au palais de Tokyo Paris, un beach in Vietnam, un artifarti fanzine, en prospérité et bonheur et finalement à Berlin pas plus engagé et pas plus solidaire, une dernière convulsion au F44 et ce qui reste est une masque en latex que tout le monde sait porter sur soi pour se cacher s’enfermer entre le corset de la tolérance sociale nommé hikikomori

Terminé à cause du faim pour des nouveautés, quoi que cela pourra être.